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les carnettistes

1695 Curso yolahugo (Hugo Barros Costa) [ILU] 079 c PT.jpg

Hugo Barros costa
Valencia [Espagne] & Porto [Portugal]
@yolahugo


Hugo est architecte, détenteur d’un doctorat et d’une maîtrise en architecture et expression graphique. Il est professeur à l’Universitat Politècnica de València.
Il a été invité en tant que chercheur à l’Académie Américaine des Arts de Chicago, à l’École Parsons SCE de New York, ainsi qu’aux prestigieuses universités italiennes que sont l’Università degli Studi di Salerno et l’Università di Roma. Enseignant passionné, il anime également des ateliers de dessin urbain dans différentes villes du monde. Ses dessins urbain ont été reconnus et exposés lors d’expositions individuelles à New York, Valence et Madrid ainsi que collectives, notamment à Venise, Valence, Clermont-Ferrand, Ferrare et Dallas.
Il est également l’auteur du livre « NYC - Chroniques graphiques », (Prix international du meilleur livre de voyage lors du 18e Rendez-vous du Carnet de Voyage à Clermont-Ferrand).

raphaël bernard
Rezé (44)
@raphaelb.art


Architecte en exercice au sein d’une agence d’urbanisme et de paysage à Nantes, Rapahël cultive la pratique du dessin sous différentes formes : carnets de voyage, dessins en atelier et performances en live. Ses outils de prédilections se résument à l’utilisation de crayons, de l’encre et de l’aquarelle dans un soucis d’efficacité.
Son travail en agence questionne la transformation des villes et des paysages. Sa production se focalise sur la révélation de l’imaginaire des lieux. Ces deux versants se nourrissent l’un l’autre indéfiniement.
Depuis quelques années, son intérêt se porte sur la question de la narration. La collaboration avec d’autres artistes (écrivains, musiciens, vidéastes) l’a conduit à la publication d’un poème graphique (Le Gris du fleuve) et à la production de sa version en live (association de musique et de projection). Cette expérience lui a donné envie de continuer l’exploration de cette nouvelle forme de production : le concert dessiné.

pierre bordas
Angoulêle (16)
@pir_bor


Pierre est né en Dordogne . Enfant il explore les forêts et grottes des alentours. Puis il monte à Paris, dans le milieu du dessin animé. Il y découvre les transports en commun, et les miliers de visages qui s’y trouvent. Depuis, il ne peut pas prendre un train, un bus ou un avion sans son carnet. Le facteur temps est important, aussi essaie-t-il d’aller à l’essentiel, en quelques traits. Il aime varier les médiums, faire des essais, mais toujours dans un même but : mettre une histoire sur un visage.

jean-claude bouvier
Paris (75)

@jeanclaude.bvr

Depuis 2010, Jean-Claude s’astreint à faire un dessin par jour, au feutre et au stylo-pinceau. Dans la mesure du possible, il doit l’achever dans la journée sans croquis préparatoire. Il a dû épurer son style afin de s’adapter au peu de temps dont il dispose pour dessiner. Il aime capter ce qui compose son quotidien - les scènes qui se répètent jour après jour, ses déplacements, les moments d’attente, les personnes qu’il côtoie, l’environnement professionnel de son activité de juge d’application des peines. Dans cet inventaire personnel, des moments de sa vie professionnelle occupent une grande part de la production. Il était affecté à Créteil lorsqu’il a commencé, puis il a été nommé au Tribunal de Paris et aujourd’hui on peut avoir un aperçu de son quotidien au Tribunal de Bobigny. D’autres projets sont venus s’ajouter à ces dessins, mais il se tient toujours à ce rituel.

audrey demarre
Paris (75)

@audreydemarre


Après avoir été éditrice de beaux-livres pour différentes maisons d’édition pendant 20 ans, Audrey Demarre a choisi de se consacrer à la broderie.
Autodidacte, Audrey aime broder des histoires atypiques, méconnues ou des cartes moins topographiques que sensibles. Ses sujets de prédilection restent les femmes qu’elles soient artistes ou qu’elles fassent partie de sa lignée ainsi que la nature sous toutes ses formes. Le végétal sa variété et son inventivité folle reste en effet une source d’inspiration inépuisable.
Elle vient de publier un ouvrage sur la broderie contemporaine paru aux éditions de La Martinière en juin dernier.

anna duvauchelle
Lille (59)
@nanaduvauch


Anna est paysagiste conceptrice et illustratrice à Lille.
Dans son travail, elle utilise le dessin pour vulgariser des projets urbains auprès des habitants, concerter les usagers, traduire des intentions d’aménagement… En voyage, elle privilégie son carnet de croquis à son appareil photo pour capturer des situations, des ambiances ou des rencontres. Passionnée de voyage à vélo et d’itinérance, elle raconte ses aventures et décrit les paysages traversés grâce à la bande dessinée, étape par étape. Au fil des kilomètres, la cartographie sensible est un moyen de préparer, raconter ou comprendre un itinéraire. Elle permet de changer de point de vue et de prendre du recul sur ce que l’on voit, ce que l’on vit... Et de rêver aussi !

beata gula
Varsovie [Pologne]
@warsownik


Des lignes noires, délicates et précises, des images dénuées de couleur comme un dessin technique ou un manuel d’utilisation. Ou peut-être que le carnet de croquis est une sorte de manuel d’utilisation de la réalité ?
Des dessins pour relier les éléments pas à pas : études d’architecture à Varsovie, stage à Rome, voyages en Europe, les paysages naturels, passion à la fois pour l’archéologie et les bâtiments résidentiels des années 1970...
Et tout cela avec l’envie de raconter et de capturer des instants éphémères.
Une guide d’utilisateur, un guide de voyage. Avec un regard sensible.

léonie jacqmin
Bruxelles [Belgique]
@leo.nieleo


Léo (iel, ael) vit et travaille à Bruxelles.
Iel a grandi à proximité du massif de la forêt de Fontainebleau, au cœur des terres cultivées du sud Seine-et-Marne, en Île-de-France. Après une formation au sein de plusieurs écoles d’architecture à Paris, Stockholm et Bruxelles, Léo collabore aujourd’hui à des projets de paysage en Flandres et aux Pays-Bas. En parallèle, iel explore des médiums pour tisser des récits d’attachements aux territoires. Cela prend forme par le dessin, l’écriture, les enquêtes, les constructions, la céramique et le field recording depuis peu.
Léo aime scruter les brèches aux lisières des villes, des terres cultivées, humides, asséchées, protégées, exploitées, en luttes. Une manière de se positionner dans un lieu pour questionner la normalisation des corps, des relations inter-espèces, de l’accaparement des terres et des savoir-faire. En rendant visibles des alliances cachées, entre les humainxes, les plus qu’humainxes et leurs habitats.

marine le breton
Périgny (17)
@lescartesmarines

Attirée par les traits, les lignes et les points, Marine crée à la pointe fine des cartes marines comme des broderies graphiques ; inspirées par le travail du SHOM, une interprétation des éléments scientifiques et historiques.
Elle est formée à l’école nationale des Beaux-Arts de Lyon puis à l’E.C.V. Paris. Collaborant depuis 16 ans dans le domaine du graphisme culturel, fin 2019 elle change d’orientation. Priorité est donnée au dessin cartographique. Une atmosphère entre le cabinet de curiosités, l’univers de la gravure et le monde naturaliste. En 2022, la Marine nationale lui remet le prix Eugène-Louis Gillot.
En 2023, c’est la sortie d’un livre de 312 pages (avec dépliants et encartages) aux éditions Hachette E/P/A ; en tant qu’auteur. Son propos est de dresser le portrait complet du littoral maritime français. En 130 cartes. De la frontière belge à la Corse.

quentin le manac’h
Alfortville (94)
@joseph.lemanach


Quentin est un artiste originaire de la banlieue parisienne qui s’intéresse au football. Il travaille sur ses multiples représentations ; un football qui se regarde sans tribunes, accoudé à un poteau avec quelques amis le dimanche, un football où les places sont chères, qui se cherche des émotions, un football qui se vit parfois dans sa tête.
Son regard se porte sur les corps, ceux sur le terrain et ceux qui les supportent derrière la ligne souvent invisible d’un rectangle blanc imprimé sur le sol. Il explore les rites, les objets, les croyances et les liens intimes qu’on s’y crée.
Ce football se construit souvent dans son imaginaire, il est emprunt de fiction, d’une autre réalité.

marie marty
Nozay (91)
@mariem.art.y


Diplômée en 2020 en illustration scientifique à l’école
Estienne, Marie exerce aujourd’hui en tant que graphiste et illustratrice. De ses années d’études en arts appliqués, elle a gardé le goût du carnet de croquis, qu’elle emporte partout avec elle.
Elle aime observer ce qui l’entoure, poser un regard doux
et émerveillé sur le monde : une lumière réconfortante, un espace vide amusant, une texture singulière, le vent qui joue à tourner les pages de son carnet... Son bonheur est de voir le beau dans ce que l’on oublie de regarder, choisir un détail à mettre en avant, une couleur à exagérer. Nourrie de toutes ces sensations, elle retranscrit ces images, expérimente avec différents outils dont le pastel gras, technique lui permettant un geste spontané, presque enfantin, et dont les couleurs sont vibrantes et expressives.

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Gilles Rebechi
Fontenay-sous-Bois (94)
@gilles_rebechi


Né en 1971, Gilles a exercé différents métiers : docker, ouvrier, pompier, facteur, aujourd’hui chauffeur de bibliobus. Plusieurs vies qui nourrissent une passion révélée sur le tard, le dessin.
Autodidacte acharné, il remplit ses carnets, qui restent le support privilégié de ses recherches, réflexions et petites anecdotes de son quotidien.  
En 2009, l’intégration au collectif des Carnettistes Tribulants lui apportent la touche de professionnalisme qui lui manquait. Avec le collectif, il participe à la création de nombreux ouvrages de reportages dessinés tel que : « Vivre vieux ! » 2009 (Ed. Alternatives), « Paysannes » 2010 et « Bringuebalés » 2014 (Ed. La boite à bulles), « Gratte-ciel & soupe de nouilles » 2017 et enfin « Cosmos & tomates » 2019 (Ed. Elytis).
Cette collaboration lui ouvre les portes du monde des expositions, des salons de carnet de voyage où il signe avec sa tribu ces quelques ouvrages.
Ses projets de Bandes dessinées s’intègrent naturellement dans ses carnets de vie avec spontanéité et sans repentirs.

sandra roussy menia
Aix-les-Bains (73)
@sandra.roussy.menia


Sandra est originaire de Voglans en Savoie. Elle dessine depuis toute petite. Après une formation en arts appliqués à l’architecture d’intérieur et en arts graphiques, dessin d’illustration,  elle ouvre son atelier en 2011. Elle commence par expérimenter avec la peinture acrylique puis elle découvre l’aquarelle. Elle se spécialise dans le croquis Urban et utilise plusieurs médiums : peinture acrylique, aquarelle, pastel, collage et encre de chine.
Elle peint beaucoup en extérieur. Elle adore les restaurants, les terrasses, l’architecture, le patrimoine, les lieux chargés d’histoire qui grouillent de vie. Mais également son lac !
Elle réalise des croquis urbains in-situ sur ses carnets qu’elle re-travaille ensuite en grands formats pour ses expositions.

khamphet sakda
Rennes (35)
@khamphetsakda


Diplômé en architecture en 1998 à Rennes, Khamphet vit en Bretagne depuis l’âge de 9 ans. Le dessin est une passion depuis ses sept ans avec la découverte de la peinture de la renaissance italienne. Depuis son seul mode d’écriture du monde qu’il voit se traduit par les croquis de voyages, le quotidien de sa vie rennaises et ses pérégrinations vers des villes de l’Europe, au sud, à l’est et au nord.
Observer, comprendre et surtout prendre le temps de regarder la vie urbaine, les paysages et les changements de saisons afin d’enrichir ses projets, dont le but est le processus créatif du projet. Avant chaque commande, son processus à lui est de partir dessiner et comprendre un lieu (ville, paysage) et questionner le programme à travers le voyage. C’est sa façon de fonctionner en tant qu’architecte qui aboutit à des quantités de croquis de voyage consignés dans ses carnets.
L’immensité du monde a découvrir et dessiner encore et encore avec plaisir et l’enthousiasme d’un enfant.

Tamazirt smaili
Montreuil (93)

@illustration.tama

Tamazirt a 24 ans et habite Montreuil.
Le dessin a toujours été une passion, lui procurant une immense satisfaction à travers l’observation et la reproduction du monde qui l’entoure. Elle explore diverses techniques artistiques (de la peinture à l’huile au crayon de couleur, en passant par le fusain, l’aquarelle et le feutre). Son art s’inspire principalement de la bande dessinée et du manga.
Pour ce festival, elle présente des dessins du quotidien à la ligne noire, explorant les contrastes et l’équilibre. Elle aime re-créer des scènes de la vie quotidienne comme des cases de bande dessinée, figeant des instants qui la captivent.
(Tamazirt a réalisé l’illustration de l’affiche de cette édition de Carnets d’Hiver.)

clément thoby
Paris (75)

@clementthoby

Clément naît en 1991 et grandit à Nantes.
Il étudie les arts appliqués à Paris, à l’école Estienne puis à l’Institut Sainte-Geneviève. Il se spécialise par la suite dans le cinéma d’animation en intégrant l’EMCA d’Angoulême.
Passionné par la couleur, il travaille pendant cinq ans en tant que décorateur et directeur artistique pour des productions d’animation. Il mène désormais une activité d’illustrateur, travaillant pour la presse internationale, des agences de communications, des marques...
Son travail se compose principalement de paysages aux crayons de couleur issus de ses voyages, qu’ils soient réels ou mentaux.

kate voronina
Moscou [Russie] & Berlin [Allemagne] & Paris (75)

@voroninakate

Katerina est illustratrice et artiste murale. Auteur et artiste du livre d’images « Où allons-nous ? » en collaboration avec la maison d’édition canadienne La Pastèque. (médaille d’or de la Société des Illustrateurs #65, New York.)
À Berlin, elle est connue pour sa fresque murale « Brave Wall » sur la façade du bâtiment de 10 étages, dédiée aux droits des femmes dans le monde.
Elle est née et a grandi à Moscou, en 2016,  déménagé à Tel Aviv, en 2018, à Berlin et en 2024 à Paris. L’expérience unique de l’émigration a affecté son développement professionnel et son style. Elle travaille actuellement sur son roman graphique.
Quelques clients avec lesquels elle a eu l’honneur de travailler : The Parisianer, Bastille, The Washington Post, GQ, The Culture Trip. La Pastèque, Urban Nation Museum Berlin, Amnesty International, Writer’s Block Murals, Beit Hatfutsot Museum Tel Aviv, Babbel, BauHaus, Bezalel, etc.

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jenny JINg zhang
Jinan [Chine] & Chicago [États-Unis]
@jennymouse2003


Jenny est artiste, illustratrice, architecte et professeur basée à Chicago. Sa passion pour le dessin a commencé dès l’enfance, nourrie par les occasions de faire des croquis dans diverses villes de sa Chine natale. Cet amour pour l’art et l’architecture l’a amenée à poursuivre une maîtrise en architecture, obtenue à la Texas A&M University en 2013.
Elle se spécialise dans les dessins à l’encre et au crayon, souvent rehaussés de légers lavis d’aquarelle. S’inspirant de la notion de Paul Klee selon laquelle « un dessin est simplement une ligne qui se promène », elle adopte des lignes lâches et fluides, leur permettant de façonner organiquement son travail.
En 2022, grâce à une bourse, elle dessine Bagnoregio (Italie). Sa 1ère exposition s’est tenue aux Artful Framer Studios à l’été 2024. En outre, elle organise des ateliers lors des séminaires USk Chicago et aux Artful Framer Studios.

l'exposition

" MONTREUIL - MONTREUX Tour et détour "
de stéphane lévy

Montreux [Suisse] & Montreuil (93)

@stephanelevy_art


Les parcours dessinés de Stéphane sont la retranscription condensée de ses états d’âmes, des questionnements, du temps, d’une lecture, d’émotions, c’est la forme de sa pensée déposée sur le papier.
Si l’on prend la période de confinement traversée avec ses réglementations ou les étapes de la vie à faire des ronds dans des carrés, c’est un périmètre limité qui prend la forme d’une œuvre poétique.
Si l’on prend les ateliers promenades, c’est le partage d’un parcours collectif retranscrit en une forme abstraite.
Si l’on prend ses cartographies mentales, c’est l’imitation,  reproduction d’espaces réels symbolisés en une technique de fixer les informations importantes sur une feuille de papier.
Au fil du cheminement, les activités plurielles résonnent les unes avec les autres. Pour s’unir dans la simplicité de l’unité.
C’est sa manière d’aborder des repères visuels et de faire de chaque centimètre carré un terrain d’exploration du réel de l’intime ou du symbolique à fixer dans le temps.
L’acuité de son regard invite à une réflexion pour ceux qui s’en approche.

les artisans

Ahorita.jpg

ahorita
Montreuil (93)
@_ahorita_


Imaginée en 2017 lors d'un long voyage au Mexique, "ahorita" est une marque d'artisanat lancée par une designer qui a voulu allier ses passions : les voyages, le graphisme et le papier.

Émilie propose de la papeterie et des carnets de voyage 100% faits-main en collections éphémères et inspirés de voyages en sac à dos. Papiers recyclés chinés dans différents pays, anciennes cartes du monde, reliure créative, illustration, fabrication artisanale de papier, collaborations avec d'autres artisans... Il y a tant de choses à expérimenter autour du papier ! 

Elle anime aussi des ateliers d'initiation à la reliure et à la fabrication de papier, à Montreuil.

Un projet pour 2025 ? L'écriture d'un livre sur le papier recyclé, qui sortira au printemps.

bouts du monde
Angers (49)
@revueboutsdumonde


Bouts du monde est une revue artistique qui publie le meilleur du carnet de voyage.
Chaque trimestre, une quinzaine de voyageurs nous confient leurs expériences intimes, poétiques, drôles et nous offrent des regards décalés sur le monde au travers
de carnets dessinés ou photographiés.
Chaque trimestre, Bouts du monde publie récits, photos et croquis de voyageurs. Un ton poétique, drôle, émouvant qui prend le pouls de la planète.
Avec une ligne éditoriale originale et sans aucune publicité, Découvrez le monde comme vous ne l’avez jamais lu.

 

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la palette du faubourg
Paris (75)
@lapalettedufaubourgofficiel


Au cœur de Paris depuis trois générations, entre la Place de la République et le Canal Saint-Martin, La Palette du Faubourg sélectionne les produits de qualité au meilleur prix, et distribue en exclusivité les marques Seawhite of Brighton et Ergo Pro.
La Palette du Faubourg conçoit également sa propre gamme de cahiers et carnets, Carré d’Art, pour les amoureux du papier.

le Lycée des Métiers
de l’Horticulture et du Paysage Jeanne Baret

Montreuil (93)
@prepapaysagemontreuil


Depuis plus d’une vingtaine d’années à Montreuil, le Lycée des Métiers de l’Horticulture et du Paysage Jeanne Baret propose des formations postbac permettant à des élèves de se préparer aux concours des Grandes Écoles de Paysage et aux métiers de la conception des espaces en lien avec le monde végétal. À travers une pratique quotidienne du dessin, de la photographie et de l’écriture, les élèves de classes préparatoires (CPES Arts-Paysage et CPGE-ATS Métiers du Paysage) développent un regard sensible et curieux sur le paysage et les espaces qui les entourent. En classe ou sur le terrain, ils travaillent notamment sur des carnets. Leurs journaux de bords racontent leurs voyages vers des projets d’orientation et leurs rencontres au cours de leurs traversées avec l’art, l’histoire de l’art, le patrimoine, la marche, l’arpentage, la géographie, les milieux, la botanique mais aussi la scénographie, l’architecture, le cinéma, la poésie, la littérature, la danse, le théâtre, etc.

TRAVAUX - pêle mêle 1PT.jpg

le bar à couleurs

Sennelierx6.jpg

sennelier
SaintBrieuc (22)
@sennelier1887


Sennelier est une marque française de couleurs pour artistes fondée en 1887 par Gustave Sennelier. Depuis plus d’un siècle, elle est synonyme de qualité supérieure et d’innovation dans le domaine des beaux-arts. Sennelier est particulièrement réputée pour ses couleurs à l’huile, ses pastels tendres et à l’huile et ses aquarelles, qui sont fabriqués en Bretagne selon des méthodes traditionnelles et des formulations raffinées.
Les couleurs à l’huile de Sennelier sont appréciées pour leur richesse, leur brillance et leur capacité à conserver leur éclat au fil du temps. Elles sont fabriquées à partir des pigments les plus purs et d’huile de carthame de haute qualité, offrant une texture crémeuse et une excellente stabilité à la lumière.
Les pastels tendres de Sennelier, introduits en 1905, sont reconnus pour leur douceur et leur gamme de couleurs exceptionnelle, avec plus de 500 nuances. Ils ont été utilisés par de nombreux artistes célèbres tels qu’Edgar Degas et Mary Cassatt.
Les aquarelles Sennelier sont prisées pour leur transparence, leur luminosité et leur intensité de couleur. Elles sont fabriquées à partir de pigments de haute qualité, de gomme arabique naturelle et de miel, ce qui garantit une application fluide et homogène.
Depuis 1887, Sennelier est une marque emblématique qui continue d’inspirer les artistes grâce à ses produits d’une qualité incomparable et à son engagement envers l’excellence artistique.

l'invité chez folies d'encre

pierre josse

Écrivain-Voyageur

Pierre parcourt le monde en quête de rencontres, d'explorations, de bonnes adresses. Cent-dix pays visités et son appétit reste insatiable pour « l'autre et sa culture ». Empathique, humaniste, il aime autant les bouts du monde que les bistrots bretons. Il est un des papes du voyage en France.
Ancien «fils de pub», instituteur dans les prisons, imprimeur-rotativiste, lecteur-correcteur, toujours ancien quelque chose, aujourd'hui vagabond professionnel, rédacteur en chef du Guide du Routard, Pierre a choisi la photo comme prolongement de l'écriture, par passion aussi de mettre en mémoire gens, vieux métiers, images, atmosphères destinées, un jour irrévocablement, à disparaître.

Vient de paraître "Voyages, c'était mieux avant ? - Des années soixante aux années Covid" co-écrit avec Josette Sicsic (éd. l'Harmattan - 2024).  Grâce aux souvenirs des périples qu'ils ont effectués depuis un demi-siècle, les deux globe-trotters ont choisi de mettre leurs expériences à profit pour tenter de comprendre le devenir du secteur touristique. Tour à tour optimistes et pessimistes, ils ne sombrent ni dans les illusions ni dans les esquisses apocalyptiques du monde de demain. Cet ouvrage n'est donc ni un pamphlet de plus sur les nuisances du sur-tourisme, du changement climatique et des conflits, ni un simple recueil de souvenirs nostalgiques. Il est la résultante de deux façons d'avoir vécu le monde depuis le grand bond en avant du tourisme dans les années d'après-guerre, jusqu'à cette drôle d'année 2020 verrouillée par le Covid.Enfin, il est une tentative de réponse à l'une des affirmations les plus répandues dans l'opinion, celle selon laquelle : « c'était mieux avant !»

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