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festival
de dessins
et de carnets
de voyage
les carnettistes de 2023
vincent andrieu
Rennes (35)
@andrieu.vincent
Le champ d’ignorance de Vincent s’étend dans ses carnets. Prague, Manhattan, Djenné, Gorée, Chinguetti, Venise et les îles bretonnes… Son jardin aussi bien que le Sahara.
Architecte à l’affut de la lumière, matière de l’espace.
À mettre en chantier. Rien ne vaut la route. Et le retour,
les bagages bourrés de questions à partager. À l’école d’architecture de Bretagne ou à travers des manifestations de voyages graphiques. Tous les moyens sont bons.
Les plus grossiers surtout. Il a 50 piges. Il y voit moins clair. Juste assez de lumière. Dessiner flou avec quelques surligneurs de bureau bien épais à couleurs bien distinctes : c’est sa coquetterie. Il voyage déjà suffisamment encombré.
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véronique béné
Chanteuges (43)
www.vivadesign.fr & @verobene_illustration
Véronique a grandi en Auvergne. À 20 ans, elle est entré aux Arts Déco. Après 26 ans de vie parisienne, elle s’est installée à Chanteuges, retrouver dans la vallée de l’Allier la nature qui lui manquait tant. Au soleil retrouvé, elle a commencé à remplir ses carnets de dessins.
Depuis, elle se consacre à l’illustration et aux carnets de voyage. Ici comme ailleurs, ses dessins traquent inlassablement l’esprit des lieux, cherchant à retenir, dans le palimpseste mouvant du paysage, les « longs instants ». Captivée par ce qu’elle voit, glaneuse d’images, fascinée par les détails, elle s’est laissée prendre à la poésie du rail, ce trésor caché, d’autant plus secret qu’il est partout devant nos yeux, comme la lettre volée de la nouvelle de E.A.Poe. Dans ce tiers-monde du train qu’est devenu le Massif central, elle s’est interrogée sur la possibilité de survie, voire de renaissance, de ces lignes
ferroviaires : parce que le train, c’est « bas-carbone » et parce que le train, c’est la vie.
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cendrine bonami-redler
Montreuil (93)
www.cendrinebonamiredler.com & @bonamiredler
Riche d’une double formation de graphisme et d’architecture intérieure, Cendrine est graphiste et enseigne dans des écoles supérieures.
Elle dessine aussi. Elle regarde ce que l’on ne voit plus. Elle préserve ce qui est voué à disparaître. Elle dessine pour témoigner. La poésie de l’ordinaire.
En 2014, elle publiait « De baraque en baraque » (cinq fois primés). En 2017 est paru « Dans son jus - voyage sur les zincs » avec P. Bard aux éditions Élytis suite au Prix du Public à Clermont-Ferrand 2016. Et en 2020, « Je ne m’arrête jamais » aux éditions Sous la Glycine et « 2054 - voyage en transition » aux éditions Élytis.
Depuis une dizaine d’années, elle est invitée dans de nombreux festivals ainsi qu’à exposer individuellement ou en collectif (en France, en Italie, en Espagne et en Suisse).
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claudio borsato
Trevise (Vénétie / Italie)
claudioborsatodisegna.blogspot.com
Claudio est né à Trévise où il vit et travaille comme architecte. Il a dessiné toute sa vie pour son travail et pour son plaisir. Il aime parcourir le monde, avec des crayons et des couleurs toujours avec lui, et de temps en temps, il s’arrête et dessine, se ménageant ainsi un moment à lui pour observer ce qui se passe autour, pour communiquer avec les lieux et les gens, et pour rapporter quelque chose qui reflète vraiment ce qu’il a vu et ressenti. Ainsi, remplir un carnet de dessins et de mots à chaque voyage est devenu une habitude indispensable.
Nombre de ces carnets ont été imprimés et publiés.
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Luis burriel bielza
Madrid (Espagne) & Paris (75)
somosarquitectos.es & @lburri
Architecte madrilène, Luis Burriel Bielza arrive à Paris en 2014 comme enseignant invité par l’ENSA de Paris-Belleville. Malgré une activité professionnelle continue consacrée à la pratique et à la recherche académique, cette ville va lui offrir une opportunité pour démarrer une expérimentation avec des différents techniques afin d’approfondir son regard sur le contexte environnant. Des cours de photogravure sur plaque photopolymère à l’Atelier Bo Halbirk aboutiront sur la publication d’un grand leporello centré sur les passages. Le dessin, laissé de côté depuis ces années de formation, revient avec force pour décortiquer deux espaces typiquement parisiens : les cafés et les librairies, dans le même format. Face à ce travail très élaboré et détaillé, le quotidien lui offre des nombreuses occasions pour s’exercer, carnet de poche à la main : les aller et retours en transport, son appartement, les musées, et encore et toujours, les terrasses...
Voyage 211119PT
Voyage 211119PT
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marguerite charles
Paris (75)
@marguerite.charles.blumenthal
Marguerite est paysagiste, diplômée de l’école de la Nature et du Paysage de Blois depuis 2020. Elle développe ses projets dessinés depuis une dizaine d’années. Elle s’inspire des gravures de Gustave Doré, des compositions de Tatiana Trouvé, des mises en scène de Thomas Ostermeier pour dessiner des “portraits” de paysage. Elle cherche à prendre le temps nécessaire pour comprendre les espaces qu’elle traverse, ses dynamiques, ses rythmes. C’est de cette manière qu’elle a le sentiment de se rendre disponible aux lieux, et d’en faire partie.
prix
du
public
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bruno daverdin
Nouméa (Nouvelle-Calédonie) & Lamballe (22)
@houba_booba
Ingénieur paysagiste de formation, il a montré dès le début de ses études un goût prononcé pour l’Art et les carnets de «terrain».
Le lien entre Carnettiste et Paysagiste devient de plus en plus probant au fil de ses stages à l’étranger, toujours à l’affût de se remémorer des détails, astuces, éléments d’architecture... glanés lors des différents lieux visités. Croquant rapidement l’instant, ses carnets représentent un palimpseste de regards autant paysager, culinaire, historique... que de simples faits sociétaux qui l’ont amusé, voire intrigué. Influencé par sa formation de paysagiste, il n’oublie pas son âme d’enfant et cette envie incessante de créer pour saisir « les petits riens » du quotidien.
La Réunion - Cirque de Salazie
La Réunion - Cirque de Salazie
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Marie-josé doutres
Sommières (34)
mariejosedoutres.com & @mariejosedoutres
Plasticienne carnettiste, « Rendre compte » par le dessin argumente la démarche artistique de Marie-José. Elle habite l'Occitanie qu’elle arpente loin des circuits touristiques, comme une hypothèse de reconstruction avec un impact écologique minimum, et le plus librement possible. 2006 pour le service Culture de la ville de Marsillargues, elle réalise un inventaire cadastral des 101 cabanes de pêcheurs du canal de Lunel à l’étang de l’Or : « Visa cabanes », l’expédition durera 273 jours sur une distance de 2 000 mètres aller-retour. Janvier 2022, elle reprend son carnet pour un projet de documentaire traitant de la situation actuelle des cabanes et cabaniers du littoral héraultais, audois et gardois. Mai 2022, on peut encore trouver de l’exotisme à dessiner les accumulations incongrues que provoque la confrontation de l’homme et de la nature et qui crée accidentellement des tableaux parfois d’une terrible beauté, désemparée entre mémoire et réalité. Elle engage une visite systématique des cabanes : « Ce sont les cabaniers qui ont changé ! »
joel guevara
Lima (Pérou) & Paris (75)
cargocollective.com/joelguevara
@joelguevara_illustrations
Joel, Péruvien, architecte de profession avec l’âme d’artiste, passionné par les voyages, le dessin, la couleur et sa force expressive. Membre de l’association des artistes de Belleville à Paris et correspondant USK Urban Sketcheurs Paris. Né à Lima-Pérou, son cahier est maintenant basé à Paris depuis 2007.
Il dessine pour bien respirer et cela lui provoque une sensation unique de bonheur. Inspiré par la force expressive des couleurs et influencé par la vie quotidienne en voyage, ses traces et ses couleurs émergent à partir de la curiosité et de la découverte. Une nouvelle histoire est toujours motivante à incruster sur le papier à travers des personnages, des espaces et des expériences.
Après un an et demi de voyage entre l’Amérique et l’Asie, il rentre en 2017 à Paris, accumulant autour de 450 dessins qui contiennent surtout des moments de la vie quotidienne et d’innumérables rencontres.
prix
du
public
1/9
1/9
xavier jallais
Aurillac (15)
xavierjallais.com & @xavier_jallais
Chaque fois qu’il voyage, à l’étranger ou dans le village d’à côté, Xavier rapporte des images et des mots qu’il assemble d’une façon nouvelle. Depuis quelques temps aussi, il collecte des sons, des bruits, des voix, et les met en forme.
Tout a commencé après ses études, il y a bientôt 20 ans, avec un voyage au Chili. En 2008, « Et si Jallais au Chili ? » arrive enfin...
Sept ans plus tard, ce sera « Cuizine voyageuze » qui verra le jour, mélange de récits et de recettes cueillies au Chili, en Islande et au Maroc.
Nouveau périple, nouvelle forme : dans l’installation « NJP station, 3 minutes d’arrêt [sur images] », il mélange dessin
et vidéo issus d’un voyage en Inde.
Et, au milieu de tout ça, des textes écrits en oubliant presque de respirer. Qu’il met en page en accordéon, ou qu’ils laissent (pour l’instant) au fond d’un tiroir...
Aujourd’hui, de nouvelles traces de voyages, sonores. Pour le repos des yeux. L’éveil des oreilles. Sans trop d’explications. Pour laisser vivre l’imaginaire.
Monstres éventrés
Cerbère
Monstres éventrés
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bénédicte klène
Saint-Grégoire (35)
benedicteklene.com & @benedicteklene
Bénédicte est née de l’autre côté de la Méditerranée, sous le signe prémonitoire du flux, des migrations et du voyage. Une empreinte indélébile qui marque en profondeur l’ensemble de sa production artistique. Diplômée de l’institut d’art d’Aix-en-Provence, titulaire d’un DEA (Master 2) et d’une agrégation d’arts plastiques, elle a eu la chance et le grand plaisir d’enseigner pendant plusieurs années. Depuis la fin 2011, elle se consacre à plein temps à son œuvre artistique. Aujourd’hui, elle vit à Rennes et elle travaille là où le souffle du dessin la porte.
Artiste plasticienne et chroni-croqueuse, elle se définit comme chroniqueuse de l’éphémère, cherchant à mettre en tension les rapports entre le dessin et l’instantané, le reportage graphique et l’enquête documentaire.
Le papier et le dessin sont toujours au centre de son processus créatif. Son travail artistique se veut ouvert et protéiforme (dessin, petite édition, livres d’artiste, multiples, peinture, installation, performance).
À son sens, l’art doit tirer un trait d’union avec le monde et le dessin en est un formidable outil pour partir à la rencontre de l’Autre et de l’Ailleurs.
Elle a obtenu le Prix Taylor 2021 pour le dessin.
1/8
fabory mara
Bordeaux (33)
@loriane_lucas
« Un point vert » pour celui ci , « un point rouge » pour celui la et un noir, le « point ultime » enfin ! Système occulte de points qui permettait d’obtenir des récompenses (souvent imaginaire) par leurs parents et pour les inciter, enfants et jeunes adolescents, à l’observation et à la créativité, c’est ainsi que commence l’aventure de Fabory liée au carnet de voyage ! Tout d’abord axé sur le texte et le récit de ces souvenirs inoubliables partagés avec ses frères et sœurs, les carnets évoluent.
2013 : Clermond-Ferrand, « Rendez vous du carnet de voyage », un 1er « point noir » officiellement validé ! C’est pour lui un «1er prix étudiant du carnet de voyage ». Puis, grâce à une 1ère expérience en agence de design, c’est aussi dans le cadre de commandes et la création de carnets imaginaires qu’il aborde le thème.
Il aime composer et recomposer les dessins sur ordinateur, y remodeler cet aspect plus narratif et illustratif, que ces compositions nous invitent à visualiser des possibles, un « ici » ou ailleurs réel ou virtuel, sans plus de frontière aucune entre réel et imaginaire, réalité ou fiction.
N’est ce pas la vocation des voyages, d’un rêve ?
Mesdames, Messieurs, ici votre commandant de bord, let’s dream!
prix
du
public
3.MARA fabPT
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gianvittorio plazzogna
Trevise (Vénétie /Italie)
gianvittorioplazzogna.it & @gianvittorioplazzogna
Diplômée en architecture à Venise, Gianvittorio produit principalement du design dans le secteur du meuble.
Il a toujours aimé expérimenter les matériaux « pauvres » pour en extraire l’expressivité latente et potentielle, souvent en “conflit harmonique” les uns avec les autres, proposer sa propre vision, particulière et ironique du monde.
Il a pris l’habitude de dessiner près de chez lui ou lors de ses voyages. “Dessiner en voyage” est devenu un second métier qu’il exerce pour son plaisir, créant des carnets de voyage où il traduit les couleurs et essaie de capter les émotions.
Il a participé aux festivals de Cuneo Voila, de Ferrare et depuis 2012 à toutes les éditions de Matite à Viaggio.
En 2018, il reçoie le prix « Antonio Cocco » et en 2021 le prix « Volti e storie » lors du festival Matite in Viaggio.
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juliette plisson
Neuilly-sur-Seine (92)
julietteplisson.com & @juliette.plisson
Diplômée architecte DPLG en 1990, Juliette est artiste peintre depuis 2007. Elle est née, vit et travaille en banlieue parisienne. En 1995, elle obtient un post diplôme Théories et Esthétiques de l’Architecture.
Elle s’est plongée dans la peinture et le dessin après avoir abandonné son métier d’architecte. L’un ne va pas sans l’autre. Tout naturellement son regard se porte sur la ville, le paysage et ses habitants. Elle aime autant travailler en extérieur sur le motif que dans son atelier. L’observation des formes, des couleurs, des matières, des espaces vides entre les acteurs de la ville est le point de départ de son travail de représentation. Alors, elle utilise aquarelle, crayons, feutres pour retranscrire et conserver un moment de voyage ou de la vie de tous les jours dans des carnets de sa fabrication. Depuis la terrasse d’un café, sur la plage, dans la ville, tout est sujet, souvent le même d’ailleurs ! Puis, elle retourne dans son atelier et attaque petits et grands formats à l’huile, ou encore en gravure.
Guillaume Reynard
Paris (75)
guillaumereynard.com & @guillaume_reynard
Né dans le Poitou en 1972, Guillaume exerce depuis 1999 le métier d’illustrateur. Pour des maisons d’édition, il réalise des albums jeunesse et des romans graphiques. Pour la presse quotidienne et magazine, il illustre des reportages ou des articles thématiques. Ses images sont aussi utilisées par des institutions, des agences de communication et même des vignerons ! Partout il dessine,
à Paris comme en voyage. Parfois aussi, il chausse ses bottes en caoutchouc pour aller travailler sur son
projet d’atelier flottant dans le Marais poitevin.
Plisson_NoirmoutierPT
Juliette Plisson_petitePT
Capture d’écran 2022-06-08 à 21.43.04PT
Plisson_NoirmoutierPT
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barnaba salvador
Mestre (Vénétie / Italie)
barnabasalvador.com & @frifrini
À l’âge de 8 ans, Barnaba est nomade entre Tamanrasset
et Djanet, le Sahara algérien. C’était en 1980. Il apprend « sur le terrain » la vie du désert, les traditions, les pistes, les traces sur le sable... Puis, c’est le tour du Mali. Ça commence comme ça une longue histoire de voyages dans laquelle il alterne le travail de graphiste avec celui de tour leader combinant ainsi ses deux grandes passions dans les carnets de voyage. Depuis le temps des beaux arts, qu’il fréquente à Venise, il expérimente différentes techniques de dessin et peinture pour tomber finalement amoureux de l’aquarelle, technique qui caractérise son travail et qu’il abandonne rarement, juste parfois, pour laisser place à l’encre et à des dessins de style bande dessinée.
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rosemary taleb-rivière
Paris (75)
@rosemarytaleb
Née en 1995 à Suresnes de parents franco-libanais, elle entre en 2012 à l’Ecole du Louvre pour y étudier l’Histoire de l’art. Ses cours d’art et d’archéologie de la Chine feront naître chez elle une passion pour le pays. Elle s’y rendra une première fois en 2013, puis y retournera en 2016 et en 2019, plusieurs carnets de voyage en main.
De Chine elle part au Japon, au Mexique, en Turquie avec une nouvelle curiosité mais revient toujours arpenter l’Empire du Milieu. À Paris, elle travaille dans une maison
de couture mais souhaiterait faire du dessin son activité principale.
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ninon tevanian
Montreuil (93)
@nin__on
Un texte de présentation ? C’est marrant de devoir se résumer à seulement 23 ans.
Ninon est diplômée d’une école de cinéma d’animation et comme beaucoup de sa génération le dessin et la peinture digitale sont ses principaux terrains de jeux. Mais si elle y est venue, c’est avant tout parce qu’elle aime regarder les gens, les dessiner, les gribouiller et comprendre ce qui fait d’eux ce qu’ils sont. Elle est membre du collectif créatif studio LN10, un trio de choc qui entreprend sa conquête du monde professionnel.
(Ninon a réalisé le dessin de l’affiche de Carnet d’Hiver 2023.)
prix
du
public
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nicolas wittebroot
Floirac (33)
pagesbynico.com & @monsieur.nico
Conter, se raconter, cacher, dévoiler, provoquer...
Posé au bord du terrain de jeux qu’est la vie, Nicolas observe le monde et façonne des histoires aux formes et couleurs variant selon ses humeurs et ses voyages. Un savoureux mélange de vrai et de rêve, juste ce qu’il faut pour exprimer le cocktail du moment. À quoi bon toujours vouloir être dans le vrai quand on sait que la réalité peu parfois nous laisser un goût amer ?
Attaché à l’émotion que lui procure une rencontre, un voyage, une découverte culturelle ou encore une actualité, il colle, dessine, crayonne, découpe… et il illustre ces moments de vie souvent fugaces, pour n’en garder que l’essentiel ou du moins ce qu’il lui semble l’être.
N’oublie jamais : « Rien ne sert de prendre la vie au sérieux, nous n’en sortirons pas vivants ! » (Alphonse Allais).
Prenons le temps de goûter…
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les artisans de 2024
l'atelier touRé
Montreuil (93)
@atelier_toure
Situé à Montreuil, l’atelier Touré est spécialisé dans la fabrication de cadres sur mesure.
Grâce à des matériaux soigneusement sélectionnés - papiers et cartons pH neutres, cartons de conservation qualité musée, profils variés de baguettes en bois et en aluminium, et verres de qualité - l’atelier s’attache à valoriser et préserver les sujets qui lui sont confiés.
L’atelier travaille très régulièrement pour des musées, institutions publiques, fondations et collectionneurs, comme des particuliers, sur rendez-vous.
bouts du monde
Angers (49)
revue-boutsdumonde.com
@revueboutsdumonde
Bouts du monde est une revue artistique qui publie le meilleur du carnet de voyage.
Chaque trimestre, une quinzaine de voyageurs nous confient leurs expériences intimes, poétiques, drôles et nous offrent des regards décalés sur le monde au travers
de carnets dessinés ou photographiés.
Chaque trimestre, Bouts du monde publie récits, photos et croquis de voyageurs. Un ton poétique, drôle, émouvant qui prend le pouls de la planète.
Avec une ligne éditoriale originale et sans aucune publicité, Découvrez le monde comme vous ne l’avez jamais lu.
l'esaj (école des paysages de la transition écologique)
Paris (75)
www.esaj.asso.fr & @esaj_off
La transition écologique est le principal enjeu du XXIe siècle.
Le paysagiste est idéalement placé pour répondre aux défis environnementaux, sociaux et écologiques par son approche transversale et pluridisciplinaire.
À l’école ESAJ, nous croyons qu’intégrer la complexité et la richesse du Vivant comme préalable à tout projet de paysage permet de trouver un équilibre heureux entre artifice nécessaire et dynamique naturelle.
Au sein de notre école de paysagiste, nous sommes convaincus que ce paradigme qui dessine une nouvelle pensée du paysage donne du sens aux projets d’aménagements des territoires urbains, péri-urbains et ruraux à l’heure de la transition écologique.
Notre ambition est de former des jeunes qui sauront la mettre en œuvre et propager cette sensibilité du vivant à l’échelle du territoire.
la palette du faubourg
Paris (75)
la-palette-du-faubourg.com
@lapalettedufaubourgofficiel
Au cœur de Paris depuis trois générations, entre la Place de la République et le Canal Saint-Martin, La Palette du Faubourg sélectionne les produits de qualité au meilleur prix, et distribue en exclusivité les marques Seawhite of Brighton et Ergo Pro.
La Palette du Faubourg conçoit également sa propre gamme de cahiers et carnets, Carré d’Art, pour les amoureux du papier.
l'invité chez folies d'encre
cédric gras
@cedricgrasecrivain
Écrivain-Voyageur
Cédric Gras est né en 1982. Il a mené de front voyages au long cours, passion de la montagne et études de géographie, avant de s'expatrier une décennie dans l'espace post-soviétique, dirigeant notamment des Alliances françaises. Les immensités de la Sibérie et de l'Extrême-Orient russe, la guerre en Ukraine ou l'Antarctique ont notamment nourri ses récits et romans. Il collabore régulièrement à diverses publications et magazines, des traductions ou des films documentaires. Il a reçu le prix Albert-Londres en 2020 pour son livre Alpinistes de Staline.
nos soutiens en 2023
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